La respiration
La respiration du Tai Chi Chuan est profonde, lente, fine et régulière. Elle est coordonnée aux mouvements exécutés par le corps pendant toute la durée de l'exercice, il ne faut ni la forcer ni la brusquer et lui permettre de trouver son rythme. Le Tai Chi Chuan exige une respiration abdominale douce, naturelle et complète.
Les premiers temps, les pratiquants de cette discipline ne doivent pas chercher à apprendre la respiration en même temps que l'enchaînement des mouvements, car il leur est impossible de faire les deux choses à la fois. Il doivent donc respirer naturellement par le nez.
En un deuxième temps, lorsqu'ils auront acquis la forme exacte du tai Chi Chuan, ils pourront synchroniser respiration et mouvements selon les principes suivants :
Inspiration : tous les mouvements d'élévation dirigés vers le haut (YIN). Par exemple, soulever le pied, soulever le corps, ramener les bras vers soi.
Expiration : tous les mouvements d'abaissement dirigés vers le bas (YANG). Par exemple : descendre le corps, poser les pieds sur le sol, étendre le bras, le geste final de la plupart des séquences.
A propos de la respiration, Maître Tung Ying Chieh a dit :
"Pendant l'exercice, on doit respirer naturellement (huxiziran) ; ne pas se forcer à une respiration profonde. Lorsqu'on arrive à un niveau élevé, la respiration devient naturellement régulière et homogène. Dans le cas contraire où on forcerait cette respiration, il n'y aurait qu'inconvénients et absence de bénéfice."
"Ne pas forcer la respiration profonde signifie ne pas faire de respiration abdominale forcée inappropriée, ni perturber le mouvement, ni perturber les lois physiologiques de la respiration naturelle. Bien sûr, comme la vitesse de pratique du Tai Chi est régulière et lente, il est encore nécessaire de faire une respiration correspondante et profonde. Lorsqu'elle atteint un certain niveau, la personne qui pratique maîtrise naturellement le souffle. Les débutants en Tai Chi Chuan ne doivent pas être trop pressés, sinon ils ont souvent des vertiges, des palpitations, une sensation d'oppression thoracique."
Les premiers temps, les pratiquants de cette discipline ne doivent pas chercher à apprendre la respiration en même temps que l'enchaînement des mouvements, car il leur est impossible de faire les deux choses à la fois. Il doivent donc respirer naturellement par le nez.
En un deuxième temps, lorsqu'ils auront acquis la forme exacte du tai Chi Chuan, ils pourront synchroniser respiration et mouvements selon les principes suivants :
Inspiration : tous les mouvements d'élévation dirigés vers le haut (YIN). Par exemple, soulever le pied, soulever le corps, ramener les bras vers soi.
Expiration : tous les mouvements d'abaissement dirigés vers le bas (YANG). Par exemple : descendre le corps, poser les pieds sur le sol, étendre le bras, le geste final de la plupart des séquences.
A propos de la respiration, Maître Tung Ying Chieh a dit :
"Pendant l'exercice, on doit respirer naturellement (huxiziran) ; ne pas se forcer à une respiration profonde. Lorsqu'on arrive à un niveau élevé, la respiration devient naturellement régulière et homogène. Dans le cas contraire où on forcerait cette respiration, il n'y aurait qu'inconvénients et absence de bénéfice."
"Ne pas forcer la respiration profonde signifie ne pas faire de respiration abdominale forcée inappropriée, ni perturber le mouvement, ni perturber les lois physiologiques de la respiration naturelle. Bien sûr, comme la vitesse de pratique du Tai Chi est régulière et lente, il est encore nécessaire de faire une respiration correspondante et profonde. Lorsqu'elle atteint un certain niveau, la personne qui pratique maîtrise naturellement le souffle. Les débutants en Tai Chi Chuan ne doivent pas être trop pressés, sinon ils ont souvent des vertiges, des palpitations, une sensation d'oppression thoracique."